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Mon journal intime : Vivre la rentrée

Dernière mise à jour : 30 août

C’est la fin des vacances. Et oui, déjà. Les vacances passent toujours trop vite, tu ne trouves pas ? Pour moi, elles ressemblent plus à une longue préparation qu’à un vrai repos.

Il faut dire que je ne suis pas douée du tout pour l’organisation. Choisir une destination ? Galère. Les dates ? Encore pire. Résultat : je finis toujours par me caler sur les vacances scolaires. Et une fois la destination trouvée, c’est le casse-tête : quoi emmener, comparer les prix du train ou de l’avion, mettre tout le monde d’accord… avec Doudou, ou pour certaines avec les enfants, la famille, les cousins, la tata, la mamie. Bref, l’organisation, pour moi, c’est une zone de turbulence permanente.

Parlons de la rentrée
Parlons de la rentrée

Les vacances : un mélange de repos et de charge mentale

Une fois en vacances, ce n’est pas beaucoup mieux. Comme toute “overthinker” qui se respecte, mon cerveau continue de tourner à 100 à l’heure. Je pense à la prochaine réunion… au bord de la plage. Aux mails qui s’entassent en mon absence. À ma collègue qui devra gérer sans moi. Aux finances. Aux activités du lendemain (et mon dieu, pourquoi faut-il toujours qu’il y ait un parc d’attractions au programme ?).

Et au milieu de tout ça, je me regarde dans le miroir : “Tiens, est-ce que j’ai pris deux-trois kilos ?” Allez, pensons body positive ! Je scrolle sur Instagram, je compare mon bronzage, je mets de l’indice 50 (d’ailleurs anecdote : je me suis tartinée partout devant, mais pas derrière… Résultat, j’avais plus l’air d’un sushi que d’une sirène 🥲).

Bref, mon cerveau, c’est 36 onglets ouverts en même temps. Pas facile de se reposer vraiment.


Et voilà… c’est la rentrée

Et là, ça y est. Les vacances se terminent. C’est la rentrée.Je me pose la question : suis-je vraiment reposée ? Est-ce que j’ai envie de replonger dans ce quotidien métro-boulot-dodo ?

Il y a un petit côté rassurant, c’est vrai : retrouver ses marques, ses habitudes. Mais aussi une forme de lassitude, un poids. Peut-être lié à la charge mentale, peut-être juste au changement de cycle.

Et si ce n’était pas une rentrée, mais une entrée ?

Dans le train, j’écoute un épisode de Bob Proctor, ce vieil Américain qui parle de manifestation et de psychologie positive. Une phrase m’a marquée :

“Changer son avenir ne résulte pas d’un souhait ou d’un rêve, mais d’une simple décision.”

Alors j’ai pris mon cahier et mon stylo. J’ai écrit un contrat avec moi-même. J’ai décidé de créer de la nouveauté.

Et là, j’ai eu comme une révélation : cette année, ce n’est pas ma rentrée, mais mon entrée.Mon entrée dans quelque chose de nouveau, de plus aligné avec mes envies, mes valeurs, mes principes.

Et pour laisser entrer du neuf, il faut lâcher quelque chose de l’ancien. Alors j’écris, je trie mes pensées, je clarifie. Et mon Dieu, qu’est-ce que ça fait du bien !


Ma résolution pour cette “entrée”

L’organisation restera toujours un fardeau pour moi, je le sais. Mais cette année, j’ai un allié : mon journal intime. Mon carnet est devenu mon coach, mon confident, mon outil pour faire le tri dans mes pensées et avancer plus sereinement.

Alors oui, c’est la rentrée. Mais pour moi, c’est surtout une entrée. Une entrée vers quelque chose de plus calme, plus inspirant, et surtout plus à mon image.

Allez, je te laisse.


Gros bisous d’une femme qui prépare son entrée après des vacances (un peu chaotiques, mais inspirantes).

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